Test micros

Ana Rita Pereira Marques, née à Lisbonne en 1995, vit à Schaerbeek, a des racines portugaises et travaille comme chargée de mission. Elle est arrivée à Bruxelles en tant que stagiaire en 2021, après avoir étudié au Danemark. Elle aime se rendre au travail à pied et le fait que l'on puisse vraiment faire n'importe quoi à Bruxelles.

Elle pense que ce qu'il y a de mieux à Bruxelles, ce sont les gens et la vie dans les parcs. Ce qui est le plus difficile, c'est la propreté, les déchets et les rats. Elle s'inquiète également du caractère éphémère du travail et des amis si vous ne pouvez pas rester.

Pour elle, Bruxelles, c'est la diversité des gens, y compris dans les équipes de travail internationales, et la diversité culinaire : elle va parfois dans un supermarché portugais et brésilien. Les questions qu'elle se pose sur l'avenir concernent l'écologie dans la ville, le système de gestion des déchets et les changements politiques en Europe.

Chloé Van der Straten, née en 2013, habite à Woluwe-Saint-Pierre et est élève à l'école primaire. Elle aime les nombreux parcs de son quartier comme le Parc de Woluwe et le Bois de la Cambre où elle se promène avec son chien et retrouve ses amis. Pour elle, Bruxelles, c'est la Grand-Place avec ses vieux bâtiments brillants, Stokkel, et surtout les scouts.

Une tradition qu'elle aime à l'école est la journée pyjama Bednet.

Elle se voit rester à Bruxelles à l'âge adulte, près de ses parents et de ses grands-parents. Ses questions pour l'avenir concernent la préservation des bâtiments anciens, la survie du cinéma, de sa maison et de son quartier.

Kaatje Aerts, née en 1977, vit à Anderlecht, a des racines belges et est enseignante.

Elle aime le multilinguisme et la diversité de Bruxelles, le vélo, mais trouve que la propreté et la consommation de drogue dans les rues sont un véritable défi. Pour elle, Bruxelles, c'est la beauté du Mont des Arts, des lieux comme la KBR, les manifestations contre les terrasses dans les espaces publics et pour le pont Marchant.

Ses questions pour l'avenir portent sur l'éducation, le climat, la poursuite de Good Move et le vivre ensemble.

Julie Van Landeghem, née en 1995, vit à Bruxelles, a des racines belges et est artiste. Elle aime le fait d'avoir appris davantage à Bruxelles qu'à l'école en Flandre.

Pour elle, Bruxelles, c'est la fragmentation par les communautés flamande et francophone en ce qui concerne la culture et les organisations artistiques, par exemple, mais aussi l'énorme richesse de la vie en commun.

Les questions qu'elle se pose sur l'avenir concernent la sécurité des femmes dans les rues, une politique humaine à l'égard des nouveaux arrivants et une production alimentaire écologique dans la ville.

Mohammed El Arbi, né à Bruxelles en 1997, vit à Bruxelles-Ville, a des racines marocaines et travaille comme agent de sécurité. Il aime la proximité de tout.

Pour lui, Bruxelles, c'est l'Europe, l'international, par exemple l'OTAN, et aussi un lieu de travail pour beaucoup, pour les habitants, les expatriés et les navetteurs.

Ses questions pour l'avenir concernent la circulation, la politique et les impôts.

Ali Bounaana, né en 1985 à Bruxelles, vit à Saint-Josse-Ten-Noode, a des racines marocaines et est éducateur dans une école. Aime le sport et la lecture. Il se prépare à déménager à Alost parce qu'il ne se sent plus à l'aise à Bruxelles : il a été victime d'un cambriolage dans sa maison et dans sa voiture, et son vélo a été endommagé. Pour des raisons de sécurité et de changement de public, il déménage.

Bruxelles reste importante pour lui pour les sorties au restaurant avec les amis. Il a de bons souvenirs d'Océade et aimerait visiter un jour le Musée des Égouts.

Ses questions sur l'avenir concernent les voitures en ville, l'éducation et le comportement des jeunes.

Zoé Vandenberg, née en 1999, vit à Etterbeek, a des racines belges, est étudiante en droit et travaille également comme assistante de recherche à l'ULB. Elle aime les friteries bruxelloises et l'idée qu'il y a encore tant d'endroits et de groupes de personnes à découvrir. Pour elle, Bruxelles, c'est les différents quartiers, mais elle a un lien particulier avec Anderlecht et les Marolles parce qu'elle y a grandi : des endroits qu'elle voit aussi s'embourgeoiser.